Différentes installations ont été mises en place à Schiltigheim pour mesurer la quantité de biocide qui s'échappent des peintures urbaines pour finir dans les eaux souterraines.
La pluie sur les façades lessive les peintures contenant des biocides. Par écoulement, ces micropolluants se retrouvent alors dans notre nappe phréatique ou dans les cours d'eau. Cette étude s'inscrit dans le projet européen Interreg V Navebgo et est réalisée sur des communes françaises et allemandes.
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